Flâner dans la rue, au bras de celui ou de celle que l’on aime, un café à la main, peindre dans la rue, prendre des photos dans la rue… Dans ma passion pour le StreetArt j’ai toujours donner la priorité au mot ART alors que le plus important était peut-être le mot STREET ? La crise sanitaire actuelle prive près de 3 milliards de personnes de leur droit le plus élémentaire (mon cher Watson) : aller où l’on veut, quand on veut. Mais c’est toujours quand on nous prend ce qui est essentiel que l’on se rend compte de la chance que l’on avait avant de le perdre. Et beaucoup d’entre nous se battent aujourd’hui pour un droit encore plus fondamental : celui de vivre. « …Sur la santé revenue, sur le risque disparu, sur l’espoir sans souvenir : J’écris ton nom ! Et par le pouvoir d’un mot, je recommence ma vie. Je suis né pour te connaître, pour te nommer… »